La princesse qui pleure [CONTE/DRAMA]

Bonjour/Bonsoir, 

Aujourd'hui, je vous offre un conte triste, je sais que je ne vous offre que cela pour l'instant, mais j'avoue que je suis très mélancolique, ces derniers temps. Désolé. 
Étant donné que je suis épuisée, je corrigerais cet article demain. 
Pardon pour les fautes. Un cookie ? 

Je vous souhaite une bonne lecture, et à demain.  

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Il était une fois…

Une princesse triste. Elle ne pleurait guère depuis des années, mais ces sourires venaient de son masque de porcelaine qui se fissurer et qui n'attendait que d'exploser révélant le visage mélancolique de la jeune femme.
Pourtant, on cessait de lui rappeler sa richesse position d'avoir épouser un prince de sang royal, et d'être la future reine du royaume.
Étant enfant, l'ancienne paysanne aurait été ravie de connaître la vie qu'elle vivait à cet instant, mais les contes de fées n'étaient que fictive.

Cependant, prisonnière d'un dragon, elle avait été sauvé par ce prince maladroit qu'elle croyait amoureuse d'elle, mais ce fut tout autre après la cérémonie de mariage.
La nuit de noce fut un calvaire pour la jeune femme, qui croyait connaître « le paradis » comme raconter ses voisines après avoir fricoté avec des soldats de passage dans le foin d'une grange.

Puis le calvaire continua avec la fréquentation de la famille royale, qui était glaciale, malgré l'alliance à son doigt. Elle n'était qu'une pièce rapporter d'un bousier.
La princesse tenait tête à sa belle-mère et son obsession d'enfant héritier, ou encore de sa belle-sœur qui se vantait de sa fertilité ayant accouché, il y a peu, de son troisième morveux pleurnichard et vicieux comme leur père.
Le roi était un homme dur, qui protégeait sa famille de fer, et fut le seul à l’accueillir avec un petit sourire, qui était si rare sur ce visage impérial.
Les années passèrent, la princesse perdit l'un après l'autre, ces amis qui n'aimaient guère son époux et son arrogance, qui n'était que la fierté qu'elle ne voulait pas perdre puisque elle lui rester que cela.
Mais elle fit la connaissance de nombreuses personnes dans le château qui fut des amis sincères, le palefrenier, sa servante et son chat. Avant tout, son chat qui fut son confident.

Puis une journée normale, qui commençait comme à la coutume avec le petit déjeuner avec la famille royale, puis le baiser réglementaire sur le pas de la porte pour voir son mari partir à une nouvelle chasse, et rester seule une partie de la journée où elle lisait, ou sortit se promener dans le jardin. Venant la nuit, elle retourna voir l'arrivée de son mari victorieux avec un pauvre animal pendu laissant une traînée de sang rendant la vue atroce. Un énième baiser qui n'était guère froid, mais brutal, faisant ressentir un malaise avec la jeune femme qui rencontra le regard brûlant de son mari. L'altesse frissonna sachant ce qu'elle allait subir dans le lit conjugal, et son mal-être grandissant en rentrant dans le château quand le regard plein d'espoir de la reine se posa sur elle.

Le repas passant, la princesse sentit tout le long, les regards la scrutant la faisant sortir de table en annonçant un petit malaise pour s’éclipser dans sa chambre.
Les heures passant et ne voyant rentrer son époux, la princesse allait vers la salle de réception plongé dans la noirceur, et la fraîcheur d’où les feux des cheminées éteintes, mais aucun signe de son époux jusqu'à un gloussement féminin non loin l'attira.

Derrière un pan d'une tapisserie, une chevelure d'une servante se dévoila abaisser aux pieds d'un homme que la princesse reconnu malgré elle, ce regard brûlant plein de défi empli d'une perversité, la fit fuir loin de ce lieu, loin de cet homme qu'elle croyait aimer.
Ses pas la menèrent au sommet d'une tour de garde, où elle laissa le flot des larmes lui craqueler encore plus son masque de porcelaine, jusqu'à que son cœur épuisait, exploser dans une germe de pétale de roses sortant de sa poitrine. Un vent souffla emportant peu à peu la jeune femme qui tomba en poussière, loin de sa prison.

Les années passèrent, et on raconte que l'époux ne sut jamais que sa femme était morte de l'intérieur cette nuit-là, car il fut tuer par la servante qui était une révolutionnaire, qui ensuite fit rentrer d'autres rebelles qui tuèrent le reste de la famille royale. On ne sut jamais si la princesse était vraiment morte mais pendant une nuit bien noire, si nous montons à la tour avec une rose, nous pouvons voir les pétales se détacher pour essayer de former le visage de la princesse qui pleure.

FIN

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