La princesse qui pleure [CONTE/DRAMA]
Bonjour/Bonsoir,
Aujourd'hui, je vous offre un conte triste, je sais que je ne vous offre que cela pour l'instant, mais j'avoue que je suis très mélancolique, ces derniers temps. Désolé.
Étant donné que je suis épuisée, je corrigerais cet article demain.
Pardon pour les fautes. Un cookie ?
Je vous souhaite une bonne lecture, et à demain.
_____________________________________________________________
Il
était une fois…
Une
princesse triste. Elle ne pleurait guère depuis des années, mais
ces sourires venaient de son masque de porcelaine qui se fissurer et
qui n'attendait que d'exploser révélant le visage mélancolique de
la jeune femme.
Pourtant,
on cessait de lui rappeler sa richesse position d'avoir épouser un
prince de sang royal, et d'être la future reine du royaume.
Étant
enfant, l'ancienne paysanne aurait été ravie de connaître la vie
qu'elle vivait à cet instant, mais les contes de fées n'étaient
que fictive.
Cependant,
prisonnière d'un dragon, elle avait été sauvé par ce prince
maladroit qu'elle croyait amoureuse d'elle, mais ce fut tout autre
après la cérémonie de mariage.
La
nuit de noce fut un calvaire pour la jeune femme, qui croyait
connaître « le paradis » comme raconter ses voisines
après avoir fricoté avec des soldats de passage dans le foin d'une
grange.
Puis
le calvaire continua avec la fréquentation de la famille royale, qui
était glaciale, malgré l'alliance à son doigt. Elle n'était
qu'une pièce rapporter d'un bousier.
La
princesse tenait tête à sa belle-mère et son obsession d'enfant
héritier, ou encore de sa belle-sœur qui se vantait de sa fertilité
ayant accouché, il y a peu, de son troisième morveux pleurnichard
et vicieux comme leur père.
Le
roi était un homme dur, qui protégeait sa famille de fer, et fut le
seul à l’accueillir avec un petit sourire, qui était si rare sur
ce visage impérial.
Les
années passèrent, la princesse perdit l'un après l'autre, ces amis
qui n'aimaient guère son époux et son arrogance, qui n'était que
la fierté qu'elle ne voulait pas perdre puisque elle lui rester que
cela.
Mais
elle fit la connaissance de nombreuses personnes dans le château qui
fut des amis sincères, le palefrenier, sa servante et son chat.
Avant tout, son chat qui fut son confident.
Puis
une journée normale, qui commençait comme à la coutume avec le
petit déjeuner avec la famille royale, puis le baiser réglementaire
sur le pas de la porte pour voir son mari partir à une nouvelle
chasse, et rester seule une partie de la journée où elle lisait, ou
sortit se promener dans le jardin. Venant la nuit, elle retourna voir
l'arrivée de son mari victorieux avec un pauvre animal pendu
laissant une traînée de sang rendant la vue atroce. Un énième
baiser qui n'était guère froid, mais brutal, faisant ressentir un
malaise avec la jeune femme qui rencontra le regard brûlant de son
mari. L'altesse frissonna sachant ce qu'elle allait subir dans le lit
conjugal, et son mal-être grandissant en rentrant dans le château
quand le regard plein d'espoir de la reine se posa sur elle.
Le
repas passant, la princesse sentit tout le long, les regards la
scrutant la faisant sortir de table en annonçant un petit malaise
pour s’éclipser dans sa chambre.
Les
heures passant et ne voyant rentrer son époux, la princesse allait
vers la salle de réception plongé dans la noirceur, et la fraîcheur
d’où les feux des cheminées éteintes, mais aucun signe de son
époux jusqu'à un gloussement féminin non loin l'attira.
Derrière
un pan d'une tapisserie, une chevelure d'une servante se dévoila
abaisser aux pieds d'un homme que la princesse reconnu malgré elle,
ce regard brûlant plein de défi empli d'une perversité, la fit
fuir loin de ce lieu, loin de cet homme qu'elle croyait aimer.
Ses
pas la menèrent au sommet d'une tour de garde, où elle laissa le
flot des larmes lui craqueler encore plus son masque de porcelaine,
jusqu'à que son cœur épuisait, exploser dans une germe de pétale
de roses sortant de sa poitrine. Un vent souffla emportant peu à peu
la jeune femme qui tomba en poussière, loin de sa prison.
Les
années passèrent, et on raconte que l'époux ne sut jamais que sa
femme était morte de l'intérieur cette nuit-là, car il fut tuer
par la servante qui était une révolutionnaire, qui ensuite fit
rentrer d'autres rebelles qui tuèrent le reste de la famille royale.
On ne sut jamais si la princesse était vraiment morte mais pendant
une nuit bien noire, si nous montons à la tour avec une rose, nous
pouvons voir les pétales se détacher pour essayer de former le
visage de la princesse qui pleure.
FIN
Commentaires
Enregistrer un commentaire